DE BENIEUWDE RONSENAAR
FRANSTALIG ALARM DERTIEN DAGEN NA 11-JULI-SCHRIJVEN VAN DUPONT
FRANSTALIGE PERS HAAKT VANDAAG IN OP BRIEF VAN BURGEMEESTER AAN LETERME
PLAATSVERVANGEND BURGEMEESTER DERIEMAKER EN RAADSLID BOUDRINGHIEN IN RTBF-JOURNAAL
DERIEMAKER: ZONDER NEDERLANDS GEEN JOB
BOUDRINGHIEN: FACILITEITEN ZIJN VERGRENDELD
ZO LEEST U HET LETTERLIJK IN LE SOIR & VERS L’AVENIR:
LE BOURGEMESTRE DE RENAIX VEUT LA FIN DES FACILITES
Luc Dupont, le bourgmestre CD&V de Renaix, une commune à facilités, a écrit au Premier ministre lors de la fête de la Communauté flamande, le 11 juillet dernier, pour demander la fin des facilités dans son entité. L’information était livrée jeudi dans les éditions de Vers l’Avenir.
Le bourgmestre, dont les administrés représentent 75 % de l’ensemble des habitants des communes flamandes à facilités, estime que le système est trop « coûteux » et « nuit à l’essor et au développement de notre ville » : « Les facilités nous ont empêchés de fusionner avec d’autres communes. Notre zone de police est monocommunale, vu que nos messages à la population doivent être donnés dans les deux langues et le personnel de la Ville, du CPAS, de la police, doit passer un examen de français à cause duquel des candidats très valables sont régulièrement évincés », écrit notamment le maïeur de Renaix.
Il retient aussi un argument « ethnique », affirmant que « les facilités sont responsables de l’arrivée de nombreux Bruxellois francophones d’origine allochtone, attirés entre autres par l’enseignement primaire francophone qui prépare de manière insuffisante à des humanités en néerlandais. A défaut d’une connaissance suffisante du néerlandais, ils n’obtiennent donc pas leur diplôme et ne trouvent pas de boulot ici. Notre taux de chômage (11 %) est l’un des plus élevés de Flandre », affirme le bourgmestre. Le Wooncode flamand qui veut que chaque candidat à un logement social en Flandre apprenne le néerlandais, n’est pas applicable dans les communes à facilités. « Ainsi, les francophones seront drainés des communes avoisinantes vers Renaix », écrit-il encore.
Wie Gunther Deriemaker als plaatsvervangend burgemeester en Rudi Boudringhien daarover wil zien in het RTBF Journaal vandaag: http://www.rtbf.be/info/belgique/politique/renaix-veut-supprimer-ses-facilites
FRANSTALIGE PERS HAAKT VANDAAG IN OP BRIEF VAN BURGEMEESTER AAN LETERME
PLAATSVERVANGEND BURGEMEESTER DERIEMAKER EN RAADSLID BOUDRINGHIEN IN RTBF-JOURNAAL
DERIEMAKER: ZONDER NEDERLANDS GEEN JOB
BOUDRINGHIEN: FACILITEITEN ZIJN VERGRENDELD
ZO LEEST U HET LETTERLIJK IN LE SOIR & VERS L’AVENIR:
LE BOURGEMESTRE DE RENAIX VEUT LA FIN DES FACILITES
Luc Dupont, le bourgmestre CD&V de Renaix, une commune à facilités, a écrit au Premier ministre lors de la fête de la Communauté flamande, le 11 juillet dernier, pour demander la fin des facilités dans son entité. L’information était livrée jeudi dans les éditions de Vers l’Avenir.
Le bourgmestre, dont les administrés représentent 75 % de l’ensemble des habitants des communes flamandes à facilités, estime que le système est trop « coûteux » et « nuit à l’essor et au développement de notre ville » : « Les facilités nous ont empêchés de fusionner avec d’autres communes. Notre zone de police est monocommunale, vu que nos messages à la population doivent être donnés dans les deux langues et le personnel de la Ville, du CPAS, de la police, doit passer un examen de français à cause duquel des candidats très valables sont régulièrement évincés », écrit notamment le maïeur de Renaix.
Il retient aussi un argument « ethnique », affirmant que « les facilités sont responsables de l’arrivée de nombreux Bruxellois francophones d’origine allochtone, attirés entre autres par l’enseignement primaire francophone qui prépare de manière insuffisante à des humanités en néerlandais. A défaut d’une connaissance suffisante du néerlandais, ils n’obtiennent donc pas leur diplôme et ne trouvent pas de boulot ici. Notre taux de chômage (11 %) est l’un des plus élevés de Flandre », affirme le bourgmestre. Le Wooncode flamand qui veut que chaque candidat à un logement social en Flandre apprenne le néerlandais, n’est pas applicable dans les communes à facilités. « Ainsi, les francophones seront drainés des communes avoisinantes vers Renaix », écrit-il encore.
Wie Gunther Deriemaker als plaatsvervangend burgemeester en Rudi Boudringhien daarover wil zien in het RTBF Journaal vandaag: http://www.rtbf.be/info/belgique/politique/renaix-veut-supprimer-ses-facilites
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